Être ou ne pas être… gentleman

Pour certaines féministes, la courtoisie masculine est vue comme étant une autre façon de suprématie masculine sur les femmes. Elles se sentent infantilisées et pas prisent au sérieux (Quoi ça une femme ne peut pas ouvrir la porte ? Quoi ça elle ne peut pas porter un truc lourd ?). C’est sûr, à voir le mal partout, on devient très vite parano… Aujourd’hui, les hommes utilisent cette excuses féminine pour ne pas nous proposer leur aide (Non mais c’est bon, vous vous êtes battus pour avoir les mêmes droits que nous, maintenant tu te démerde avec ta pauvre valise que tu n’arrives pas à mettre dans la cabine au-dessus de ton siège). Mais je pense que le problème n’est pas une question d’homme/femme mais simplement d’éducation..

Estime de soi et l’amour de son ventre

Le nombril, c’est la trace de l’origine de quelqu’un. C’est par là que la vie lui a été donnée par sa mère.
Passer son temps à contempler cet endroit, c’est oublier, voire nier l’existence des autres, ne pas les considérer.
Cette attitude est aussi nommée le nombrilisme.

Être ou ne pas être… Geek(ette)

Sans avoir l’intention de faire un copié-collé sur l’article de « Genre » à propos du sexisme dans la communauté geek, c’est un article qui m’a fait tout de même réfléchir sur plusieurs choses… Tout d’abord, bien sûr, par rapport à soi-disant sexisme que l’auteur dénonce, et puis sur le faire d’être geek pour une fille. Bien sûr, elle l’a dit, ce sont deux choses qui sont très liées, et je voulais faire un point avec ce que je pensais de mon côté.

L’art de la drague

Pour ceux qui me connaissent, ils vont bien rigoler, parce que je suis franchement nulle pour draguer, même en role-play (dans un jeu de rôle / murder). Je ne me sens pas à l’aise pour draguer, déjà parce que je ne vois pas comment je pourrais faire que quelqu’un tombe sous mon charme autre que naturel (héhéhé), et puis je n’arrive pas à être autre chose que naturelle en fait… Draguer quelqu’un pour moi c’est synonyme de jouer un rôle qui n’est pas le sien, en vu d’attirer l’autre. C’est aussi de l’objectivisation totale. En tout cas pour les filles. De plus, si je joue un perso dragueur, ça va être dans un style plus « masculin » dans le sens où je ne vais pas minauder pour attirer. Oui, j’ai du mal à prendre une place d’objet, désolée…

La femme est un loup pour l’homme

Pour une fois, inversons les rôles… Aujourd’hui, on parlera du fait que la plupart des hommes ont peur de la femme. Vous allez me dire, c’est du déjà vu, on sait déjà qu’ils ont peur et que c’est pour ça qu’ils les maltraitent. Oui, mais je trouve qu’on n’approfondie jamais vraiment cette explication. Je ne vais pas me lancer dans des débats psychologiques. Déjà parce que ce n’est pas ma place, mais aussi parce que les gens n’aiment pas qu’on parle psychologie (c’est comme la politique… personne n’est jamais vraiment d’accord). J’ai parlé un peu dans mon article sur la virilité de la relation des hommes avec leur côté féminin. Et je pense que quand on dit que les hommes ont peur des femmes, ça renvoie à leur « féminité intérieur » plutôt qu’à la femme en général.

Les filles et… le JDR

Ceci n’est pas un poisson d’avril, il y a bel et bien des filles qui jouent à des jeux de rôles (et qui ne sont pas uniquement sexuels… Quoi que, ça dépend de son interprétation). J’ai beaucoup (trop) parlé de la place de la femme, des idées reçues, etc, dans un monde « normal », nous allons parler brièvement de sa place dans un monde ludique : le JDR.

Les images féminines d’aujourd’hui

Je sais, j’arrête pas de me plaindre par rapport à l’image des femmes et des modèles féminins a la télé ou autre (oui, parce que les féministes passent leur temps à se plaindre, c’est bien connu, elles n’aiment rien ni personne). Mais aujourd’hui je vais faire le contraire, parce qu’il ne faut pas être mauvaise fois, et que même s’il y a des choses à changer, beaucoup de choses ont déjà changé concernant l’image de la femme. Sinon, tout simplement, je n’aurai jamais pu écrire un blog comme celui-ci et être lue en publique sans me faire brûler.

La pute, la sainte, la mère

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais nous sommes trop mise dans des cases, nous les femmes, par rapport à notre sexualité. Autant les hommes ça reste plus ou moins constants, autant les femmes nous avons, en plus de nos obligations de ménage, de travail, etc, encore plus intérêt à nous tenir au script en matière de sexualité.

L’obligation à l’orgasme

Avertissement : sexualité, orgasmes, virilité, mots cochons, tousa, tousa…

Parce que la société aime nous dire quoi faire, elle aime nous obliger à avoir un orgasme. La première fois que j’ai entendu parler d’un orgasme c’était au collège, où une amie (le plus expérimentée de notre classe) nous parlait du plaisir d’avoir un orgasme (elle avait 13-14 ans à l’époque). Je lui ai demandé qu’est-ce que c’était. Elle m’a expliqué plus ou moins, mais ça me paraissait quand même un truc super loin. Bizarrement je n’associais pas le plaisir que je pouvais avoir quand je me masturbais à ce soit-disant Graal. Mais bon, après j’ai eu des expériences sexuelles et j’ai grandi.

Être soi même, oui mais…

Depuis l’adolescence, c’est la guerre du « Qui suis-je ?« . On se cherche à travers ses vêtements, les amis qu’on côtoie, la musique qu’on écoute, nos loisirs, notre comportement… L’identitaire « depuis l’extérieur » est très important jusqu’à la fin de l’adolescence-début de vie adulte. On arrête les piercing un peu partout, ou l’identité bien tranchée (on ne s’habille plus QUE en noir, ou on ne sort pas QUE avec des sportifs…). C’est comme si le vase identitaire s’était rempli d’un peu beaucoup de choses, et qu’on commençait à faire le tri.